Etampes en commun
Solidarité et engagement pour la paix. Nous étions présents, mercredi soir, au rassemblement de solidarité à la famille Bibas, dont trois membres, une femme et deux enfants, ont été assassinés par un mouvement terroriste. Au regard de ses actions de haine et de violence, le Hamas n’a, à nos yeux, comme nous l’avons toujours affirmé, aucune légitimité. Il s’agit d’un mouvement terroriste, ennemi résolu de la défense des intérêts des Palestiniens et de la cause de la paix. Notre présence à ce rassemblement témoigne de notre compassion à l’égard de la famille Bibas et de toutes les familles victimes de ce conflit, palestiniennes comme israéliennes, de notre attachement à la paix, à la solution à deux États, au droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, et de notre solidarité à l’égard de nos compatriotes qui, légitimement, ressentent la peur, la haine et l’exclusion. À ceux qui veulent nous caricaturer du côté de la haine, nous réaffirmons notre attachement à la paix, et notre totale compassion à l’égard des 1200 Israéliens tués le 7 octobre, des dizaines de milliers de Palestiniens tués, des 2 millions de Palestiniens déplacés, des millions d’Israéliens qui continuent de se sentir insecurisés et abandonnés par leur gouvernement d’extrême droite, des millions de Palestiniens qui continuent de subir la confiscation de leurs terres et les déclarations irresponsables de politiciens occidentaux, européens ou américains, qui ne respectent les vies perdues qu’à géométrie variable ou préparent une « Côte d’Azur » sur la bande de Gaza. Nous nous tiendrons toujours aux côtés de toutes les victimes civiles, et de nos compatriotes qui subissent, ici, en France, les conséquences du climat de menace et de haine instillé dans notre pays. Qui d'autre que notre groupe peut comprendre ce sentiment de peur, de négation et d’injustice, lorsque l'on a été victime soi même de menace de mort et d'attentat par incendie criminel ? Nous nous battrons toujours pour la paix et contre les injonctions des extrémistes à quitter la ville, une région ou un pays. Vivre dans la peur de la récidive, et le sentiment de ne pas être entendu n'est pas tenable. Quand on a connu cela dans sa chair, toutes les polémiques sont inopérantes, car nous ne pouvons ignorer les souffrances d’autrui, ni mettre des mots qui les amoindrissent, et encore moins en faire une exploitation politicienne sur le dos de familles endeuillées. Nous ne pouvons que regretter que ce type de rassemblement ne se soit pas tenu plus tôt. Voilà plus d’un an que nous avions fait adopter, en conseil municipal, malgré l’opposition du Maire et de ses plus proches, une motion appelant à l’organisation d’un rassemblement pour la paix, contre l’antisemitisme, l’islamophobie et toute forme de discrimination. Ils ne l’ont pas fait. Nous avions également déposé une motion pour un cessez le feu et une paix durable entre israéliens et palestiniens. Ils ne l’ont pas votée. La France ne doit être une terre de discrimination et d’exclusion pour aucun de nos compatriotes. La situation internationale appelle à de la responsabilité et de la mesure. Nous continuerons de porter, à Etampes, la voix de la paix, du droit international, du rejet de la haine, de la colonisation et des discriminations. Rassemblons nous autour de cette voix de raison, qui refuse de diviser les Étampois.

Solidarité et engagement pour la paix

Nous étions présents, le soir du mercredi 26 février, au rassemblement de solidarité à la famille Bibas, dont trois membres, une femme et deux enfants, ont été assassinés par un mouvement terroriste. Au regard de ses actions de haine et de violence, le Hamas n’a, à nos yeux, comme nous l’avons toujours affirmé, aucune légitimité. Il s’agit d’un mouvement terroriste, ennemi résolu de la défense des intérêts des Palestiniens et de la cause de la paix.

Notre présence à ce rassemblement témoigne de notre compassion à l’égard de la famille Bibas et de toutes les familles victimes de ce conflit, palestiniennes comme israéliennes, de notre attachement à la paix, à la solution à deux États, au droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, et de notre solidarité à l’égard de nos compatriotes qui, légitimement, ressentent la peur, la haine et l’exclusion.

À ceux qui veulent nous caricaturer du côté de la haine, nous réaffirmons notre attachement à la paix, et notre totale compassion à l’égard des 1200 Israéliens tués le 7 octobre, des dizaines de milliers de Palestiniens tués, des 2 millions de Palestiniens déplacés, des millions d’Israéliens qui continuent de se sentir insecurisés et abandonnés par leur gouvernement d’extrême droite, des millions de Palestiniens qui continuent de subir la confiscation de leurs terres et les déclarations irresponsables de politiciens occidentaux, européens ou américains, qui ne respectent les vies perdues qu’à géométrie variable ou préparent une « Côte d’Azur » sur la bande de Gaza.

Nous nous tiendrons toujours aux côtés de toutes les victimes civiles, et de nos compatriotes qui subissent, ici, en France, les conséquences du climat de menace et de haine instillé dans notre pays.

Qui d’autre que notre groupe peut comprendre ce sentiment de peur, de négation et d’injustice, lorsque l’on a été victime soi même de menace de mort et d’attentat par incendie criminel ?

Nous nous battrons toujours pour la paix et contre les injonctions des extrémistes à quitter la ville, une région ou un pays. Vivre dans la peur de la récidive, et le sentiment de ne pas être entendu n’est pas tenable. Quand on a connu cela dans sa chair, toutes les polémiques sont inopérantes, car nous ne pouvons ignorer les souffrances d’autrui, ni mettre des mots qui les amoindrissent, et encore moins en faire une exploitation politicienne sur le dos de familles endeuillées.

Nous ne pouvons que regretter que ce type de rassemblement ne se soit pas tenu plus tôt. Voilà plus d’un an que nous avions fait adopter, en conseil municipal, malgré l’opposition du Maire et de ses plus proches, une motion appelant à l’organisation d’un rassemblement pour la paix, contre l’antisemitisme, l’islamophobie et toute forme de discrimination. Ils ne l’ont pas fait. Nous avions également déposé une motion pour un cessez le feu et une paix durable entre israéliens et palestiniens. Ils ne l’ont pas votée.

La France ne doit être une terre de discrimination et d’exclusion pour aucun de nos compatriotes. La situation internationale appelle à de la responsabilité et de la mesure. Nous continuerons de porter, à Etampes, la voix de la paix, du droit international, du rejet de la haine, de la colonisation et des discriminations. Rassemblons nous autour de cette voix de raison, qui refuse de diviser les Étampois.

Etampes En Commun

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