Ce dimanche 28 avril, nous avons rendu hommage à nos aïeux, victimes de la barbarie nazie, dans le cadre de la Journée Nationale du souvenir des victimes de la déportation.
L’hommage est important et nécessaire, et nous pensons qu’il doit être amplifié par la prise de conscience citoyenne de leur combat. Il faut entretenir la Mémoire de la Déportation et de celles et ceux qui ont combattu pour la libération de la France.
Oui, le devoir de mémoire, ce n’est pas seulement déposer des gerbes. Il ne faut pas oublier que « la bête n’est pas morte » comme le dit Pierre Perret et qu’elle peut renaître à la première de nos faiblesses, notamment pendant les périodes de crises sociales ou politiques.
La connaissance des crimes d’avant-hier, d’hier et d’aujourd’hui nous permettra d’éviter ceux de demain. Qui ne connaît pas son Histoire est condamné à la revivre ! Nous y serons toujours vigilants.