Ce 13 novembre, nous commémorons les victimes du lâche attentat terroriste de Daesh, qui, il y a 10 ans, emportait la vie de 132 de nos compatriotes.

Nos pensées vont à leurs familles, à leurs proches, ainsi qu’aux centaines de personnes blessées et durablement traumatisées par ces horribles attaques. Nous adressons également notre reconnaissance, et notre gratitude, à tous les pompiers, les soignants, les policiers et les agents publics, qui, par leur sérieux et leur professionnalisme, ont sauvé d’innombrables vies.
10 ans plus tard, la mémoire est encore vive, et les plaies restent ouvertes. Ceux qui l’ont vécu se rappellent tous très bien où ils étaient, ce soir-là. Tous, dans ces instants tragiques, nous nous sommes sentis appartenir à un même groupe, quels que soient nos lieux de vie, nos professions, nos origines ou nous croyances. Tous, en ces heures sombres, nous avons été solidaires de nos concitoyens qui subissaient, à Paris, les pires violences.
En frappant des lieux de culture et de festivité, les terroristes de Daesh cherchaient à nous blesser dans nos chairs autant qu’ils espéraient nous heurter dans nos certitudes.
10 ans après, continuons de leur prouver qu’ils ont eu tort.
Ne rien oublier. Condamner et juger avec une extrême sévérité. Rester unis dans la fraternité et fidèles à nos valeurs de solidarité. C’est là la meilleure réponse que nous pourrons apporter à tous les obscurantismes, et à toutes les haines.



